Blockchain dans les soins de santé: un furtur passionnant pour la santé

17 avril 2022General healthKimboCare Content Team
2022-04-17T03:57:00.000Z2022-04-17T03:57:00.000ZBlockchain, des opportunités immenses pour l'accès aux soins de santé en Afrique et au delà

Le secteur des soins de santé doit surmonter de nombreux obstacles s’il veut se transformer en un système de soins de santé universel d’ici 2030 conformément aux objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies. Dans bon nombre de cas, les progrès sont entravés par le manque d’infrastructures nécessaires à un tel changement. La situation est d’autant plus alambiquée que le secteur des soins de santé implique des chaînes d’approvisionnement complexes et de nombreuses parties prenantes.

Cette situation provoque plusieurs problèmes :

1. Le manque d’intégration entre les fournisseurs de soins de santé, un état de fait qui crée des silos de données et rend difficile l’évaluation de la chaîned’approvisionnement dans son ensemble ;

2. La sécurité, la propriété et l’accès aux données ;

3. La contrefaçon de médicaments et les mauvaises pratiques en matière de soins de santé ;

4. Le gaspillage des services.

Les violations de sécurité sont particulièrement préoccupantes dans le monde numérique d’aujourd’hui. En 2021, le site Institut Ponemon a estimé que le coût moyen d’une fuite de données aux États-Unis s’élevait à 4,24 millions de dollars américains, le chiffre le plus élevé jamais enregistré.

En outre, les patients n’ont généralement pas accès à leurs données personnelles, alors qu’un tiers (par exemple, un médecin ou un hôpital) a souvent le contrôle total des données qu’il collecte. Cette inaccessibilité rend les transitions entre les parties prenantes – des patients aux cliniques en passant par les assureurs – une tâche lourde et souvent dupliquée.

Comment la technologie peut-elle aider le secteur des soins de santé ?

Des technologies et des politiques radicalement nouvelles sont essentielles pour parvenir à des soins de santé universels. La blockchain est l’une de ces technologies qui présentent des applications prometteuses pour relever les défis.

Les experts affirment que « cette dernière est sur le point de transformer le système de santé ». Il est estiméque la technologie blockchain pourrait permettre d’économiser jusqu’à 100 à 150 milliards de dollars par an d’ici 2025 en améliorant la collecte, la gestion, la transparence et la sécurité des données.

La blockchain a également la capacité de surmonter deux obstacles parmi les plus pressants : la protection et la précision des données. À l’ère des violations de données, la sécurité des informations personnelles est essentielle, et la précision des données est cruciale lorsqu’il s’agit d’une question de vie ou de mort.

Plus important encore, la blockchain peut résoudre le problème des populations éloignées, isolées et mal desservies, notamment en Afrique subsaharienne. Alors que l’accès aux soins de santé et aux services financiers reste faible, près de 50 %de la population de la région est abonnée à un service mobile, ce qui représente environ un demi-milliard d’utilisateurs. Cet état de fait prédispose bien l’Afrique aux investissements dans les technologies de la santé et sur la cybersanté, en particulier sur les applications mobiles.

Aujourd’hui, plus de 20 pays africains expérimentent des stratégies de cybersanté ainsi que de nouvelles technologies. Les tendances comprennent la santé mobile, la télésanté et l’apprentissage en ligne afin d’atteindre les objectifs de la région en matière de soins de santé.

Les fondateurs de KimboCare sont également convaincus que la blockchain peut révolutionner considérablement le secteur des soins de santé. Grâce à leur propre plateforme de données blockchain et à leurs « crédits santé », ils sont en mesure de faciliter un accès plus rapide aux services de santé et de fournir une base de données sécurisée pour les informations personnelles et les paiements. Les données de bout en bout leur permettent également de créer un service de soins de santé basé sur la valeur afin de résoudre le problème de la qualité de ces soins dans des pays pilotes en Afrique. Pour en savoir plus, cliquez ici.

Le présent article examine en détail certains des défis actuels en matière de soins de santé et des exemples sur la façon dont la blockchain peut les résoudre.

La blockchain est la clé de la réforme des soins de santé

Elle garantit une transparence maximale en utilisant un système de grand livre numérique décentralisé et distribué pour stocker et partager des informations. Dans le domaine des soins de santé, la blockchain a le potentiel de renverser les systèmes de soins de santé hiérarchisés en un système de soins géré par les patients.

La blockchain est également plus sûre que les autres systèmes de données, car il n’existe pas de système centralisé qu’un pirate informatique pourrait cibler. A contrario, la blockchain autorise de nombreuses copies sur différents nœuds. Une telle performance le rend relativement résistant à la falsification.

Plus précisément, la blockchain a le potentiel de réformer le secteur des soins de santé en raison de ses nombreux atouts. En effet, elle permet :

- De partager et de stocker les dossiers médicaux numériques ainsi que les données des essais cliniques ;

- D’améliorer les systèmes de soins de santé mobiles ;

- De surveiller les appareils à distance ;

- D’intégrer les frais de soins de santé aux réclamations de sinistres d’assurance ;

- De réduire les coûts liés à la violation des données ;

- De surveiller et d’optimiser les chaînes d’approvisionnement ;

- De réduire la contrefaçon de médicaments ;

- D’améliorer les coûts informatiques, opérationnels et personnels ;

- De faciliter les processus de facturation des soins de santé ;

- D’étudier et de respecter les réglementations locales.

Cas concrète d’utilisation de la blockchain dans le secteur de la santé

1. Dossiers patients informatisés (DPI) et collecte de données

Dans certains pays en développement, notamment en Afrique subsaharienne, l’absence de dossiers médicaux numériques entraîne des répercussions sur l’accès aux soins et sur la collecte de données. Certaines cliniques s’appuient encore sur des dossiers écrits ; en conséquence, la récupération et la sécurité de ces données sont compromises et une telle approche retarde le traitement.

Cependant, même dans les pays développés, la collecte de données médicales n’a pas atteint son plein essor. L’inopérabilité de la blockchain permet l’intégration de nombreux acteurs, ce qui pourrait réduire le temps de navigation des patients entre différents prestataires de soins de santé.

La blockchain peut regrouper divers DPI en un seul dossier tout au long de la vie d’un patient, quel que soit l’emplacement ou le fournisseur. L’intelligence artificielle (IA) peut également exploiter ces données afin d’offrir à chaque patient des recommandations personnalisées en matière de soins de santé.

Ces bases de données aident également les décideurs et les dirigeants à se faire une meilleure idée des problèmes de santé de leur population afin de mieux répartir les ressources. La technologie blockchain peut être utilisée pour automatiser de nombreux processus, tels que les rappels de contrôles et les soins préventifs, ce qui stimule l’utilisation des services de santé et améliore la santé globale de la population. Un exemple est Prescrypt, dirigé par Deloitte aux Pays-Bas. Leur logiciel blockchain analyse les ordonnances des patients pour suivre leurs données de santé et proposer des services de soins.

Dans les économies à faible revenu, la monétisation des données pourrait également apporter une réponse à la couverture des coûts des soins de santé. Longenesisest l’une des entreprises pionnières dans ce domaine pour l’immense population africaine. Sa plateforme blockchain met en relation les utilisateurs et les entreprises dans le but de collecter des données précieuses.

En outre, l’agrégation des données par Longenesis peut faciliter des essais cliniques. Les essais nécessitent plusieurs parties prenantes, notamment les participants à la recherche, les promoteurs et les fabricants de produits médicaux, les analystes, les praticiens de la santé et les organismes de réglementation gouvernementaux. La blockchain peut faciliter le consentement du patient, vérifier l’approbation réglementaire, collecter et analyser les données, et communiquer ces données à toutes les parties prenantes.

2. Gestion par le patient de ses propres soins de santé

Imaginez que les utilisateurs puissent accéder à leurs données de santé et les gérer de la même manière que les services bancaires et financiers sur leur smartphone.

Grâce à la blockchain, un patient pourrait conserver en toute sécurité ses données de santé tout au long de sa vie sur une application et en autoriser l’accès à tout fournisseur de soins de santé par un simple toucher. Par exemple, Medipasspermet aux utilisateurs de regrouper les données médicales de divers hôpitaux sur une application mobile.

Ce système décentralisé permet aux patients et aux fournisseurs de soins de santé d’accéder à des données partagées. L’utilisation de contrats intelligents et multisignatures permet de protéger les documents des patients contre toute modification, tout en permettant au patient de contrôler l’accès des tiers à ses dossiers.

En d’autres termes, les patients peuvent télécharger de nouvelles données à tout moment et donner accès à un fournisseur de soins, où qu’il se trouve. Ce système a des applications évidentes pour la télésanté et les consultations à distance, notamment dans les zones éloignées des établissements de soins. Les patients pourraient également communiquer anonymement des données aux chercheurs afin de contribuer au développement d’innovations médicales révolutionnaires.

Bien plus encore, un tel système réduirait la duplication des tâches administratives et permettrait à plusieurs médecins de consulter un même patient, en particulier les patients atteints de maladies nécessitant une équipe pluridisciplinaire ou qui sont soumis à divers essais cliniques, comme les patients atteints de cancer.

En outre, il peut réduire la fraude à l’assurance, qui coûte au secteur environ 80 milliards de dollars par an. Grâce aux contrats intelligents, les patients peuvent donner aux assureurs un accès direct à leurs données de santé pour évaluer la validité d’une demande. Les utilisateurs peuvent en bénéficier sous la forme d’une réduction des coûts administratifs.

À cela s’ajoutent les préoccupations croissantes concernant les fuites de données et l’éthique selon laquelle les patients devraient avoir accès à leurs propres données. Utiliser ce système devient particulièrement urgent compte tenu de la nécessité de protéger les données provenant des dispositifs de suivi portables et des équipements médicaux.

3. Soins de santé mobiles et à distance

L’accès aux communautés éloignées, isolées et disposant de peu de ressources, est un élément clé dans la réalisation des soins de santé universels.

La technologie mobile est particulièrement adaptée à la résolution de ces problèmes en raison de la forte pénétration de la téléphonie mobile dans les pays en développement. Par exemple, l’Afrique subsaharienne est la seule région où les transactions effectuées à l’aide de portefeuilles mobiles représentent près de 10 % du PIB, contre 2 % dans d’autres régions du monde.

Des programmes pilotes utilisant la technologie mobile ont, par exemple, permis à des millions de personnes en Afrique d’obtenir rapidement des conseils importants en matière de santé.

Le service RapidSMS du Rwanda est un exemple qui utilise la technologie blockchain pour les femmes enceintes. Les agents de santé peuvent s’inscrire, surveiller et demander des services pour des femmes enceintes par le biais de messages envoyés à un serveur central. Les autorités peuvent en outre utiliser ces données pour comprendre les problèmes qui touchent la population et pour entreprendre une meilleure allocation des ressources.

4. Contrôle en temps réel

Certaines maladies, notamment les maladies de longue durée ou celles qui nécessitent un suivi régulier, peuvent bénéficier de soins à distance. Les patients peuvent être suivis à domicile à l’aide de dispositifs de suivi et des notifications importantes peuvent être envoyées aux patients et aux fournisseurs.

La blockchain peut fournir l’infrastructure adéquate au stockage et à l’analyse de cette grande quantité de données. Les patients peuvent ensuite donner aux fournisseurs de soins de santé un accès instantané à ces données chaque fois que cela est nécessaire. Par exemple, les patients diabétiques pourraient envoyer leurs données à un médecin et recevoir des conseils instantanés en cas d’urgence.

5. Meilleure gestion des chaînes d’approvisionnement

L’un des problèmes des systèmes de santé actuels est le manque de données. Les données sont souvent cloisonnées entre les différentes parties prenantes de la chaîne logistique des soins de santé. Les décideurs et les dirigeants ont par conséquent du mal à comprendre les lacunes de la chaîne d’approvisionnement, d’identifier les maillons à améliorer ainsi que la méthode propice.

Le projet MediLedger est un exemple qui utilise la blockchain pour fusionner les fournisseurs de médicaments ainsi que les fournisseurs de services logistiques afin de recueillir des données sur le maillon où les lots de médicaments sont envoyés, pour ainsi optimiser la chaîne d’approvisionnement.

6. Systèmes de soins fondés sur la valeur

Lorsque les données de toute la chaîne d’approvisionnement peuvent être agrégées, les lacunes et les opportunités deviennent plus évidentes. Cette capacité de la blockchain à briser les silos de données la rend propice pour la création de systèmes de soins basés sur la valeur.

Un tel apport est particulièrement vrai lorsque les données de bout en bout impliquent le retour d’information des patients dans le système métrique. Par exemple, la plateforme de soins de santé KimboCare recueille les données auprès de toutes les parties prenantes pendant le traitement d’un patient, y compris l’analyse des services reçus par le patient. Ces données permettent de tenir les fournisseurs de soins de santé responsables de leurs soins, et elles les incitent à s’améliorer.

7. Médicaments contrefaits

Les médicaments contrefaits constituent un problème mondial et ils provoquent près d’un million de décèspar an. Ils touchent toutes les régions du monde et contribuent aux maladies pharmacorésistantes.

Le problème est aggravé dans les pays où le taux de corruption est élevé et où il est facile de compromettre les acteurs des chaînes d’approvisionnement. La pauvreté pousse les gens à acheter des médicaments auprès de sources non officielles malgré les risques. L’OMS estime qu’environ 10 % des médicaments dans les pays à revenu faible ou intermédiaire sont falsifiés ou inférieurs aux normes.

Les médicaments contre le paludisme et les antibiotiques sont les plus fréquemment falsifiés, mais tout peut être trafiqué, des antalgiques aux médicaments contre le cancer. Ces médicaments ne parviennent pas à traiter les patients en raison de l’absence des molécules actives ; elles peuvent aussi entraîner la mort en raison des molécules toxiques, d’un mauvais stockage ou d’un mauvais dosage.

Les chaînes logistiques de soins de santé étant complexes et mondiales, il est difficile de retracer l’origine de chaque médicament. Les produits pharmaceutiques passent souvent par de nombreux acteurs de la chaîne d’approvisionnement, ce qui pose le problème du cloisonnement des données. Les fabricants, les services logistiques et les entrepôts conservent généralement leurs propres bases de données séparées, plutôt que de partager les informations. Ces conditions créent des brèches qui facilitent l’entrée des médicaments falsifiés et de qualité inférieure dans la chaîne d’approvisionnement.

La technologie blockchain offre de nombreuses applications pour lutter contre les médicaments contrefaits :

- En tant que grand livre distribué, une fois qu’un médicament est saisi, il ne peut être modifié ni édité. Voilà des mesures qui empêchent l’entrée des médicaments contrefaits dans la chaîne d’approvisionnement ;

- Diverses métriques de la chaîne d’approvisionnement peuvent être suivies, notamment les données relatives à l’expédition et à la température, afin de s’assurer qu’aucun médicament n’a été falsifié ;

- L’ensemble de la chaîne d’approvisionnement peut être suivi et partagé entre les parties prenantes, de la fabrication à la vente de chaque médicament. Ces données de bout en bout améliorent la transparence et la validité de l’origine d’un médicament. En cas de rappels, il est également plus facile et plus rapide de retrouver et de retirer les médicaments affectés ;

- La transparence incite en outre les parties prenantes à améliorer la qualité de leurs services, étant donné que toutes les données sont traçables et peuvent être analysées.

Dans les pays africains, Sproxil et mPedigree Network utilisent la technologie mobile pour aider les patients à vérifier la validité de leurs médicaments. Les patients grattent un panneau pour révéler un code, puis envoient ce numéro par une application pour confirmer la validité du médicament. Cet outil permet également aux entreprises de comprendre les données de base du client, comme les effets indésirables. Chekkit est un autre exemple, qui récompense également les rétroactions sous forme de points de fidélité ou de temps d’appel instantané.

Une autre application vise la réduction des faux certificats de vaccination, tels que le certificat de fièvre jaune ou, plus récemment, les faux certificats de vaccination contre la COVID-19. Un grand livre public décentralisé facilite l’identification de l’authenticité d’un certificat.

8. Éducation

Le manque d’éducation, tant pour les professionnels que pour le grand public, a un impact sur la qualité des soins de santé et sur la prévention sanitaire, en particulier dans les économies émergentes où le taux d’éducation est plus faible.

Par exemple, l’OMS a signalé que les maladies non transmissibles telles que le cancer, le diabète et les maladies cardiovasculaires sont en train de devenir la principale cause de décès en Afrique subsaharienne. Le taux de mortalité a presque doublé au cours des deux dernières décennies, en grande partie à cause du manque de mesures de prévention, de diagnostic et de traitement.

La technologie blockchain peut être utilisée pour diverses initiatives en matière d’éducation. Elle peut être utilisée pour automatiser les notifications de contrôle, envoyer des messages d’éducation à la santé à l’aide des applications mobiles, ou pour stocker des informations éducatives qui peuvent être consultées par divers acteurs.

La blockchain peut générer des économies substantielles

Au-delà de la mise en œuvre de solutions de soins de santé innovantes qui transforment le secteur, la blockchain favorise les gains d’efficacité à grande échelle. Selon des estimations issues de recherches, la blockchain pourrait permettre au secteur des soins de santé d’économiser jusqu’à 100 milliards de dollars par an d’ici 2025.

La blockchain peut permettre de réaliser des économies de plusieurs manières :

- Il est estimé que le passage du papier aux dossiers électroniques peut réduire les coûts de 3 % pour la prise en charge ambulatoire ;

- IBM rapporte que le partage des données pourrait permettre aux hôpitaux d’économiser 93 milliards de dollars sur cinq ans ;

- L’utilisation d’un système de pair-à-pair permet de réduire les coûts en supprimant les intermédiaires et les services tiers ;

- La blockchain est l’épine dorsale de la création d’applications d’analyse de données supérieures et de la mise en œuvre de la technologie IA. En automatisant la collecte et l’analyse des données, les entreprises peuvent analyser leurs chaînes d’approvisionnement pour améliorer l’efficacité et réduire les coûts ;

- Les contrats intelligents peuvent automatiser de nombreux processus nécessaires au secteur des soins de santé, ce qui permet de gagner du temps et de réduire les besoins en ressources humaines ;

- Les coûts opérationnels et transactionnels sont généralement moins élevés que ceux des méthodes traditionnelles.

Ces économies considérables permettraient aux fournisseurs de soins de santé de réduire les coûts auprès des consommateurs. La réduction des coûts des soins de santé serait un pas important vers la réalisation des soins de santé universels.

Conclusion

Parmi la myriade de technologies actuelles, la blockchain présente le plus grand potentiel pour la réalisation de soins de santé universels. Un tel atout s’explique en grande partie par sa capacité à faciliter les échanges sécurisés de données et de paiements, tout en gérant l’équilibre délicat entre la confidentialité et l’accès de toutes les parties prenantes, y compris les patients. L’amélioration de la collecte des données montre également des avancées prometteuses pour la monétisation des données relatives aux soins de santé, la création de modèles de soins fondés sur la valeur et une meilleure répartition des ressources en matière de soins de santé. En outre, la blockchain a le potentiel d’économiser des milliards de dollars en faveur du secteur des soins de santé, permettant ainsi aux fournisseurs de soins de santé de répercuter ces économies sur les patients et de stimuler l’accès universel aux soins de santé.

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